jeudi 22 mai 2014

Une grande source d'inspiration pour toute celles qui veulent "toucher les étoiles" et accomplir leur vie en suivant leurs rêves.

Voici une vidéo d'une intervention que Miss Oprah a faite à l'université de STANFORD. Elle parle de sa vie personnelle et de sa carrière. 
C'est une femme qui veut partager sa vision de ce qu'est la vie pour elle: un lieu, des circonstances pour expérimenter, apprendre et devenir la meilleure expression de soi.

 


To be continued...


vendredi 31 janvier 2014

J'arrête de PROCRASTINER : LA REGLE DES 2 MINUTES



Votre bureau ressemble à un champs après bataille ? Un soupir d’exaspération à la vue de ce tiroir fermé dans lequel se trouve un tas de courrier non classé ? Vous évitez de croiser une pile de linge grossissante qui a élu domicile dans votre salon ?  Vous faite sûrement partie du large club des Procrastinateurs.


La Procrastination c’est quoi ?

C’est remettre sans cesse au lendemain voir à jamais, des taches que l’on ne souhaite pas faire le jour même. Conséquence : une accumulation de petites choses à faire qui au final peuvent entrainer de gros problèmes (Facture impayée saisie SDF…j’exagère à peine).
Bien que l’on puisse penser « loin des yeux, loin du cœur » la procrastination vous donne un don de double vue désagréable, car vous savez qu’il y a « des choses » dans le tiroir, vous savez que c’est vous qui alimentez cette pile de linge et les échéances arrivent (=stress = pellicules).

J'ai lu toute sorte d'articles sur la façon d'en finir avec la procrastination mais c'est souvent :"faites des listes des choses à faire et organisez-vous". Cela marche pour certain mais pour moi c'est une solution provisoire que je peux difficilement appliquer de façon continue avec les imprévues d'une vie de "maman qui travaille et qui fait construire sa maison tout en pensant à organiser les activités extra-scolaire de sa progéniture qui tombe régulièrement malade et qui se réveille la nuit". 

Mais ce n'est toutefois pas une raison suffisante pour ne pas essayer d'agir contre un fléau qui alourdit mon quotidien. Et c'est en lisant le site Entrepreneur que j’ai enfin trouvé une façon pour commencer à en finir avec cette plaie. En effet, après moult recherches je n’avais jamais trouvé de solution simple si pleine de bon sens.

James Clear auteur de l’article “The Easy Way You Can Stop Procrastinating and Stick to Good Habits – Now”  l’appel the '2-Minute Rule' c’est-à-dire la règle des 2 minutes. Celle-ci comporte 2 parties :

1- "Si cela prend moins de 2 minutes, il faut le faire tout de suite".
Vous n’imaginez pas le nombre de tâches qui prennent moins de 2 minutes à être réalisées (laver sa tasse après le petit déjeuner, mettre du linge dans la machine et la lancer, répondre à un email, mettre un chèque dans une enveloppe...).  C'est simple n'est-ce pas, mais beaucoup de tâches sont mal jaugées. On se dit "j'ai pas le temps ", "je le ferai plus tard", mais en fait on repousse le tas de sable qui peu à peu se transforme en montagne. J'ai donc pris le temps de chronométrer plusieurs tâches et en effet bon nombre étaient expédiées en moins de 2 minutes.

2- "Lorsque vous souhaitez avoir un nouvel objectif, il doit prendre moins de 2 minutes à être lancé". 
Attention, cela ne veut pas dire qu'il doit être réalisé en moins de 2 minutes mais tout les objectifs peuvent être commencés en 2 minutes.
Exemple : si vous décidez de faire du sport le matin, il faut qu'en moins de 2 minutes vous soyez prêt ( tenue,équipement,DVD..) et s'y mettre. Si vous souhaitez écrire un livre, commencez par écrire une ligne par jour (ce qui prend 2 minutes). Vous voulez améliorer votre anglais, regardez tous les jours 2 minutes d'un bon show américain (ex : Ask Steve, le show de Steve Harvey).


Pour réussir il faut donc d'une part initier l'objectif mais aussi s'astreindre à une discipline  quotidienne. "La règle des 2 minutes" lance un mouvement, c'est-à-dire qu'elle permet d'avancer vers l'objectif que l'on s'est fixé. L'objectif est donc accessible mais il faut actionner et nourrir quotidiennement la machine. Cela doit avoir pour conséquence d'encrer de bonnes habitudes dans nos réflexes et de faire ce que l'on a faire, naturellement.

J’ai commencé à appliquer cette règle la semaine dernière et la gymnastique mentale est exigeante. Il faut rester bien concentré et trouver dès que possible l'opportunité d'appliquer la règle. Et surtout, il faut être régulié et garder l'objectif en tête. Toutefois l'expérience est gratifiante. J'ai en effet l'impression de faire plus de chose et de mieux contrôler mon temps et mon environnement. Je verrai dans les jours à venir si les bonnes habitudes s'installent où si elles s'envolent au premier coup de vent.

Mais je garde en tête que ce qui est important, ce n'est pas tant le but à atteindre que le chemin pour y parvenir. 

 To be continued...





vendredi 24 janvier 2014

RESOLUTIONS 2014!

BONNE ANNÉE ET MEILLEURS VŒUX POUR CETTE ANNÉE 2014!

Mieux vaut tard que jamais.....

J'ai décidé de faire le bilan de l'année 2013 maintenant. Et oui, je me suis "légèrement" laissée dépasser par la fin d'année et je n'ai eu ni le temps, ni le cœur d'ailleurs, à écrire. Je pense même que j'eusse perdu la flamme un moment.

Pour résumé, nous avons fait construire une petite maison avec mon compagnon et nous avons été livré avec 5 mois de retard. D'une livraison en juillet, nous sommes arrivés en décembre. Face à un constructeur de mauvaise fois, qui ne répond pas quand on appel ou qui donne des rendez-vous bidons, la foi, la force, l'optimisme en prennent en gros coup.
J'ai beaucoup douté pendant cette période : pourquoi me suis-je mise dans cette galère? Pourquoi je n'ai pas mieux choisi? Pourquoi c'est toujours mieux chez les autres?... De la crise de nerf il n'y a qu'un pas vers la crise de foi et j'ai fini avec un ulcère.

Vous connaissez Madame OLESON ? Toujours un bon commentaire à faire.
Pendant cette période, j'ai pu constater que des personnes qui n'ont rien à voir avec ma vie, se permettent toute sorte de commentaires : "Vous savez, la construction d'à côté est déjà livrée". "Vous n'auriez pas du faire comme ceci, mais comme cela". En bref, rien qui aide mais juste creuse un peu plus l'abime des incertitudes.





Tout cela pour dire, que je n'ai pas consacré une minute à mon projet de création d'entreprise. En effet, on ne peux bien bâtir qu'un seul projet de cet envergure à la fois. Mais je me rends compte à quel point un tel projet professionnel est imbriqué dans ma vie quotidienne et ne peut être mené de façon sérieuse et continue sans prendre en compte différents paramètres. Il est clair que si la vie familiale et matérielle n'est pas optimale, on ne peut pas se consacrer pleinement à un projet professionnel. De même, si on traverse une période de doute ou de perte de confiance en soi, rien de bon ne peut germer d'un cerveau encombré. Et c'est une bonne chose je pense : je sens que mon terroir d'idées fabuleuses actuellement en jachère va voir germer de nouvelles pousses.

Mais parlons résolutions. Et oui, c'est un passage obligé. Pas de nouvelle année sans résolution. Toutefois pour moi, plus que des résolutions, c'est un "nouvel art de vivre" que je veux mettre en place.
Je m'en donne deux (surtout pas plus) et je consacrerai des articles pour exposer les méthodes que j'ai trouver de-ci de-là pour essayer d' y  arriver :


- Tout d'abord, ARRÊTER DE PROCRASTINER (c'est-à-dire arrêter de remettre au lendemain)








- Et, DEVENIR MATINALE (une nouvelle lubie qui pourrait me faire gagner du temps ("le temps c'est de l'argent") et de la sérénité ("rien ne sert de courir, il faut partir à point" (voir à l'heure)).



Pourquoi ces 2 objectifs ? 

D'une part, la procrastination c'est souvent accumuler les petits problèmes pour en faire de grosses catastrophes et ça c'est pas bien!
D'autre part, il est prouvé que les personnes qui réussissent le mieux se lève tôt, voir très tôt (genre 4h du mat!).
 
Je veux vérifier si ces deux habitudes vont améliorer mes performances faire ressortir le meilleur de moi-même...et en plus je devrais gagner le temps "que je m'illusionne de croire" qu'il me manque pour atteindre mes objectifs.

To be continued...

jeudi 22 août 2013

La dépression c'est pas moi, c'est pas toi....

La dépression je ne pensais pas que je pourrais en parler dans ce blog qui se veut gaie et positif, mais j'ai rendu visite à une amie dernièrement, qui est tombé dans une grosse dépression.
Je l'ai vu amaigrie, triste, l'ombre de la personne forte et dynamique que j'ai connu il y a 6 ans.
Elle remonte tout doucement la pente mais elle sort d'un trou profond et béant.

Je suis consciente que l'aide que l'on peut fournir à quelqu'un dans ce cas est limité, car c'est un combat personnel et privé. Mais on a tous été victime de cet état à un plus ou moins haut niveau. J'ai connu le divorce, les déconvenues professionnelles, les déceptions scolaires. On se retrouve au bord du précipice et  il y a un moment où tout peut basculer. 

Tomber ou faire un pas en arrière...Est-ce un choix, un état d'esprit, de la chance? Je reste persuadée que l'on peut être acteur de cette situation et reprendre le contrôle de sa vie.
La dépression c'est quoi ? C'est une maladie qui se caractérise notamment par une grande tristesse, un sentiment de désespoir, une perte de motivation et l’impression de ne pas avoir de valeur en tant qu’individu. 
A travers les différentes lectures que j'ai faites  (notamment celles qui parlent de développement personnel) voici ce que j'ai compris et que je souhaite partager : il faut savoir mettre de la distance entre soi et les problèmes et les observer de loin. On n'est  pas la colère, on n'est pas la nullité, on est pas la souffrance, on est pas la dépression. 
Pourquoi on se laisse atteindre par des problèmes extérieurs à nous ? C'est vrai! Un problème d'argent, de travail, sentimental, n'est pas à l'intérieur de nous, or il nous touche comme le pire des cancers.

Tilopa, maître indien de tradition boudhiste dit ceci :  "Have a Mind that is Open to Everything and Attached to Nothing", Ayez un esprit ouvert à tout et attaché à rien. 
L'attachement, à nos relations sociales, au matériel, à notre situation sociale, est source de tristesse car il nous conditionne. Il nous conditionne car on a des attentes par rapport à cela, et si ces attentes ne se réalisent pas, elles créent une déception qui peut être telle qu'elle provoque une auto-dépréciation de notre personne. En effet, on est pas conforme au moule que la société nous a créé mais on essaie d'y entrer désespérément.

Autre source de désespoir : notre histoire. On pense souvent que c'est notre passé qui doit faire ce que l'on est aujourd'hui. Cela s'entend car il est formé de nos expériences, notre éducation, des évènement heureux et malheureux et qu'il inscrit des marques profondes et parfois douloureuses. Mais il faut prendre conscience du côté irréversible du passé. On ne peut pas retourner en arrière pour rectifier, améliorer, bannir, un évènement. 
Par contre, on peut choisir qu'il n'ait plus de conséquence sur notre présent. Le passé est passé et il ne reviendra pas. C'est rassurant en fait, car cela veut dire que tous les jours on a une nouvelle chance. Une nouvelle chance de se renouveler, de s'améliorer, d'apprendre ce que l'on a pas appris, de donner ce que l'on a jamais eu. C'est une chance de créer son présent. 

Une autre cause de dépression : les autres. Bien souvent on associe sa dépression au comportement qu'ont les autres envers nous. On se plie à leur jugement, à leur appréciation, à leurs insultes. Or par quel pouvoir magique une personne peut influer sur notre humeur, notre volonté et même, notre santé ? Si on part du principe que je suis maître de ma personne, que je peux à ma guise être de bonne humeur, prendre des initiatives, à qui puis-je permettre de prendre MES commandes?

Toutefois, faire abstraction du formatage du passé demande de pouvoir faire usage de qualités dont on se sert habituellement avec parcimonie : l'introspection et le pardon.
L'introspection c'est regarder à l'intérieur de soi. Elle doit permettre d'analyser et comprendre nos processus psychologiques. Saisir ses processus psychologiques, c'est connaître les clés qui provoquent tel ou tel comportement. C'est aussi pouvoir identifier à quel moment on bascule et ce dire "oh non! je ne vais pas tomber".
Le pardon n'est pas un acte religieux mais il a surement une portée spirituelle. Il peut être donné et reçu et on peut pardonner aux autres et surtout à soi-même. Il est je pense, le plus grand pouvoir dont on puisse faire usage dans notre vie quotidienne. Il est l'acte qui dit : tu ne peux plus me faire de mal puisque je ne t'en veux plus, je ne rumine plus, je suis passée à autre chose ou je repars à zéro.


Lorsque l'on prend conscience de cela, on se rend compte que l'on est libre. La liberté est donc là, à porter de main. C'est une prise de conscience plus ou moins difficile à provoquer, mais si on comprend que l'on est pas obligé de répéter les erreurs du passé et que ce qui crée notre conditionnement est la peur (de ne pas être conforme, de revivre ce qui l'a déjà été...), on prend les rênes de sa vie.

Je vous offre cette chanson de Nina Simons qui m'inspire de la force pour continuer d'avancer, lutter contre le désespoir et construire ma vie selon mon idéal.




RECETTE DE FEMME PRESSEE

J'étais sure d'avoir publier ce post... mais non! Avec beaucoup de retard (car je suis hyper occupée avec un déménagement).
Le défi cuisine est terminé (depuis trèèèèèèèèès longtemps)  et je dois dire que ça n'a pas du tout marché. Je n'ai eu qu'une seule participante et j'avoue que je lui ai fortement suggéré de participer. Mon but était de partager des bonnes idées mais bon. Pourquoi ce défi n'a intéressé personne ? Si vous avez des suggestions....Lorsque j'ai demandé à ma sœur si elle n'avait pas une idée de recette en 15 minutes, elle m'a dit qu'elle n'est jamais pressée quand elle fait la cuisine...c'est un début de réponse.

En tout cas, je remercie ma grande copine Florence super cuistot pour sa recette venue tout droit de Guadeloupe dont voici les détails.


On coupe tout ça : giromon, morue dessalée, madère violet, ail, cive (je garde la peau du giromon pour les vitamines)  


Petite astuce: je met des restes de thé vert dans l'eau pour parfumer les légumes.

On pose dans le panier vapeur avec de l'ail et des cives, on met en marche et on s'en va faire autre chose.
Puis quand ça sent bon dans la maison, je dresse le tout avec un filet d'huile d'olive.


Miam! 

vendredi 5 avril 2013

God Is Trying To Tell You Something.

Un matin de cette semaine, je me suis levée avec une chanson en tête. C'est God Is Trying To Tell You Something, la version du film La couleur pourpre.

C'est pour moi de l'émotion en barre. Je ne peux m'empêcher de regarder ce film sans verser une petite larme. Le message véhiculé est celui de l'espoir et de l'accomplissement de soi même dans les pires difficultés. Le film est d'autant plus intéressant qu'il parle de femmes blessées par la vie qui surmontent leurs peurs pour avancer.

Je partage cette chanson avec vous. Dans le film elle est chantée par Shug Avery, une chanteuse de cabaret, qui sous des airs de femme forte, cache un profond chagrin. Elle a quitté sa famille pour mener la vie qu'elle pensait devoir mener mais son père l'a reniée. Elle cultive durant des années le secret espoir d'une réconciliation. Par cette chanson, elle envoie un message (clair) à son père.

jeudi 28 mars 2013

Arrêter de vivre le bonheur des autres.

Ces derniers temps, j'ai accès à des nouvelles chaînes de télé : notamment E! et Vivolta.
E! c'est la chaîne de tous les cancans de stars, un Voici télévisé qui vous fait vivre la vie de star de l'intérieur.
Et je me suis laissée prendre à la téléréalité. Moi qui disait : " la téléréalité ? les gens qui regardent ça n'ont vraiment rien à faire! "

La vie de la famille des Kardashians, le couple Ice T / Coco, le Boss des cakes, Projet haute couture... Envoyez c'est pour moi!

Non je ne suis pas accro ! me cris-je, les yeux glauques rivés sur la télé, le doigt crispé sur la télécommande. Mais je reste là, fascinée par le bling-bling des uns, la créativité des autres, l'ânerie de certains...et le temps passe.
Le temps passe et je l'ai donné à quelqu'un d'autre. Je l'ai rendu profitable à des inconnus. Mais moi qu'est-ce que j'ai capitalisé? Une expérience anthropologique ?

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